9 novembre à Doué-en-Anjou : Clarika en concert au théâtre Philippe Noiret
« Je suis l’ingénue, la guerrière, je suis la douceur, la colère… » Comme dans les paroles de Je Suis Mille, Clarika a toujours présenté mille facettes, mille fossettes. Une pluralité à découvrir le vendredi 9 novembre 2018, au théâtre Philippe Noiret de Doué-en-Anjou...
« Comme une petite nièce de Souchon, Clarika déballe un sens de l’écriture agile », commentent Les Inrockuptibles
On l’a connue voyeuse dans le vestiaire des garçons ou experte des cabines d’essayage, amoureuse en transit et menteuse malicieuse, belle à se damner et rebelle à l’hyménée, fille et femme, en mieux et en pire, mais toujours pour le meilleur.
« Des concerts renversants », selon Télérama
Avec « De quoi faire battre mon cœur », son septième album, en équilibre entre chanson populaire et pop exigeante, Clarika « fait coup double avec un grand disque et des concerts renversants », nous explique le magazine Télérama dans sa rubrique « Sortir ». Après une tournée de plus de 50 concerts à travers la France, dont une Cigale et un Trianon complets, Clarika prolonge le plaisir avec une formation en duo inédite. L'artiste sera en concert ce vendredi soir 9 novembre 2018, au théâtre Philippe Noiret de Doué-en-Anjou.
Infos pratiques : Vendredi 9 novembre 2018, à 20h30, au théâtre Philippe Noiret de Doué-en-Anjou. Genre : Chanson. Durée : 1h30. Tout public. Tarifs : plein 19 euros / réduit 16 euros / jeune 6 euros. Chant : Clarika / guitare, clavier et rythmique : Ludovic Leleu. Site internet : www.clarikaofficiel.com.Renseignements et réservations auprès du théâtre Philippe Noiret du
mardi au vendredi de 13h30 à 18h, le samedi de 9h30 à 12h30, et le
samedi de 13h30 à 17h30 (les jours de spectacle), par téléphone au 02 41
50 09 77 ou par mail à culture@doue-en-anjou.fr. Nouveauté : billetterie en ligne sur https://web.digitick.com. Une vidéo présentant les spectacles de la saison est en ligne sur le site et à consulter en cliquant ici (extrait en ligne à 4’56").
Article du 05 novembre 2018 I Catégorie : Culture
Commentaire de Vlady BOISSIN
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