Voici le pitch du reportage : avec un canal toujours rempli d’eau, Fabrice Guyoneau se croyait à l’abri des restrictions pour irriguer ses cultures. Mais un compteur est désormais obligatoire sur sa pompe. L’année dernière, il a dépassé de 6 000 mètres cubes le quota autorisé.
"Le reproche qu’on nous a fait en 2019, c’est de ne pas l’avoir relevé
régulièrement, par rapport aux deux canicules qu’on a eu, ce qui fait
qu’on a dépassé nos volumes", explique l’agriculteur.
Jusqu’à 7 500 euros d’amende
Résultat : Il vient de recevoir un PV, comme 46 autres irrigants. Une première. Si le montant n’est pas encore fixé, il risque jusqu’à 7 500 euros d’amende. "À cette époque-ci, on a autre chose à faire que de regarder nos compteurs tous les jours. On a une administration agricole qui ne pense qu’à nous démonter, et je pense qu’il va falloir que ça s’arrête", insiste-t-il.
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Article du 28 juillet 2020 I Catégorie : Vie de la cité